Je cours de toit en toit comme un dieu
Genre : film d'action avec acteurs lobotomisés, mais très bien fait.
Analyse : le scénario est minimaliste, ce film mise tout sur la qualité des séquences d'action.
Et c'est réussi.
La réalisation, les mouvements de caméra, les plans, leur enchaînement, les décors, l'ambiance, les chorégraphies des combats ou des scènes de poursuite, tout cela est d'un très bon niveau. J'ai apprécié la gestuelle des combattants, beaucoup de "close-combat", sans armes, et c'est très bien: les scènes sont compréhensibles, et d'une esthétique difficilement discutable.
Pas cool : le jeu de certains seconds rôles est limite pathétique (genre sous-série bidon).
Avertissement : à éviter absolument si pour vous l'intelligence du scénario et la profondeur des personnages sont indispensables.
Là on a plutôt affaire à des cramés du cerveau.
A noter : la présence surprise de Philippe Torreton. Un pensionnaire de l'académie française dans une production Besson, fallait tout de même le signaler.
Ca fait bien plaisir de le voir là tonton. Bonne surprise donc.
Ma scène préférée : la course poursuite sur les toits, il courre et il saute vraiment trop bien celui-là.
Bon allez, je vais vous mettre encore un petit extrait. C'est l'intro du film. Il y a deux trois glissés de caméra qui sont vraiment bonards.
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Analyse : le scénario est minimaliste, ce film mise tout sur la qualité des séquences d'action.
Et c'est réussi.
La réalisation, les mouvements de caméra, les plans, leur enchaînement, les décors, l'ambiance, les chorégraphies des combats ou des scènes de poursuite, tout cela est d'un très bon niveau. J'ai apprécié la gestuelle des combattants, beaucoup de "close-combat", sans armes, et c'est très bien: les scènes sont compréhensibles, et d'une esthétique difficilement discutable.
Pas cool : le jeu de certains seconds rôles est limite pathétique (genre sous-série bidon).
Avertissement : à éviter absolument si pour vous l'intelligence du scénario et la profondeur des personnages sont indispensables.
Là on a plutôt affaire à des cramés du cerveau.
A noter : la présence surprise de Philippe Torreton. Un pensionnaire de l'académie française dans une production Besson, fallait tout de même le signaler.
Ca fait bien plaisir de le voir là tonton. Bonne surprise donc.
Ma scène préférée : la course poursuite sur les toits, il courre et il saute vraiment trop bien celui-là.
Bon allez, je vais vous mettre encore un petit extrait. C'est l'intro du film. Il y a deux trois glissés de caméra qui sont vraiment bonards.
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